Ce plafonnement abaissera les « scores » de réduction de GES obtenus pour un nombre significatif d’agriculteurs et par conséquent des bonus reversés. Il oblige également, pour bénéficier de ce dispositif, d’établir un « point Zéro » au travers d’une analyse de sol.
Ce nouveau cadre règlementaire européen, pénalisera donc à terme la rémunération des agriculteurs pour le changement des pratiques, mais il ne stoppera pas cette dynamique.
La demande pour nos énergies bas GES issues de l’agriculture est en effet toujours le levier le plus évident à activer en faveur de la transition énergétique.